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«Lorsque l'incrédulité devient une foi, elle est moins raisonnable qu'une religion»
Edmond de Goncourt

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Réponse aux Juifs : une naissance miraculeuse ?


Si les Juifs répugnent et se refusent à reconnaître l'idée même que Yeshua puisse être le Messie, c'est parce qu'il y a un quiproquo fondamental sur la conception que s'en font les juifs d'une part, et les chrétiens d'autre part.

Il faut avoir plongé dans un bon nombre de vidéos dénonçant la messianité de Yeshua comme celles de JPLT («Juifs pour la Torah») ou de celles de «Jews for Judaism» pour comprendre les mécanismes de rejet qui animent les juifs.

Cet article reprend les arguments avancés par les juifs eux-mêmes dans les vidéos de la chaîne Youtube «Jews for Judaism».

À commencer par la définition du mot "messie". En hébreu, le mot "messie" se dit «משיח» ("maschiach") qui signifie «oint (d'huile)».

Qu'est-ce que le «messie» ?

Pour les juifs, la principale mission du Messie est d'enseigner la Torah au monde et établir le royaume de Dieu sur terre. Ils affirment que «si les chrétiens rejettent la loi de Dieu et s'ils considèrent la Torah comme obsolète, que reste-t-il à enseigner à l'humanité ? Rien. Nulle part, la Bible ne suggère d'une manière ou d'une autre que le Messie abolit la loi.» 

Et c'est vrai. Au contraire, la Torah est éternelle et le Messie amènera toute l'humanité à l'observer.

Ezéchiel 44:23-24
Ils [les sacrificateurs] enseigneront à mon peuple à distinguer ce qui est saint de ce qui est profane, ils lui feront connaître la différence entre ce qui est impur et ce qui est pur. Ils seront juges dans les contestations, et ils jugeront d'après mes lois. Ils observeront aussi mes lois et mes ordonnances dans toutes mes fêtes, et ils sanctifieront mes sabbats.

Si la fonction du sacrificateur est d'enseigner la loi, combien plus celle du "sacrificateur en chef", le souverain sacrificateur !

Pourquoi les juifs rejettent-ils Yeshua ?

Les juifs rejettent Yeshua pour de multiples raisons mais la première d'entre elles, celle qui les rebute entre toutes, c'est le fait qu'aucune prophétie, à aucun moment, n'a jamais annoncé une naissance «miraculeuse» ou «virginale». Pour les juifs, «l'idée même que Dieu irait planter une semence dans une femme est non nécessaire et non naturelle et n'est pas dans le Tanakh.» (Ces termes ne sont pas de moi, mais ce sont les termes employés par les juifs eux-mêmes dans les différentes vidéos de la chaîne précitée).

Esaïe 7:14 est une traduction frauduleuse selon les juifs. Et c'est vrai.

Esaïe 7:14
C'est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe, Voici, la jeune fille deviendra enceinte, elle enfantera un fils, Et elle lui donnera le nom d'Emmanuel.

Ce n'est pas une viergebetulah») mais une jeune fillealma») qui deviendra enceinte. Voilà le signe. Les juifs ont raison. Sur le papier.

Les prophéties à la loupe

Mais, étonnamment, ces mêmes juifs qui peuvent commenter, se disputer et épiloguer des pages durant sur le pourquoi de tel ou tel yod dans les Écritures ne se sont jamais demandé «en quoi le fait qu'une jeune fille devienne enceinte peut-il être un signe divin».
En effet, si féconder une jeune fille est un signe, alors ce signe est à la portée du premier venu ! N'importe quel homme peut rendre une jeune fille enceinte ! Il n'y a pas besoin d'être le Dieu vivant Elohim, pas besoin d'être le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob !

Donc, nécessairement, le signe annoncé dans Esaïe 7:14 contient obligatoirement quelque chose de caché, de miraculeux, de prodigieux. C'est ce qu'avaient compris et interprété les traducteurs de la Septante en traduisant «vierge» plutôt que «jeune fille» :

Esaïe 7:14 (Septante)
διὰ τοῦτο δώσει κύριος αὐτὸς ὑμῖν σημεῖον· ἰδοὺ ἡ παρθένος ἐν γαστρὶ ἕξει καὶ τέξεται υἱόν, καὶ καλέσεις τὸ ὄνομα αὐτοῦ Εμμανουηλ·
C'est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe. Voilà que la Vierge concevra dans son sein, et elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom d'Emmanuel.

Mais donnons acte aux Juifs d'être fidèles au texte hébraïque qui mentionne effectivement une jeune fille «עַלְמָה» "alma" Strong H5959 et non "betulah" «בְּתוּלָה» Strong H1330.

Cependant l'argument qui consiste à affirmer qu'aucune prophétie n'a jamais annoncé d'une manière ou d'une autre une naissance «miraculeuse» ou «virginale» commence déjà ici à être pris en défaut...

Esaïe 53 au microscope

Les rabbins s'offusquent — à juste titre — de ce que dès que les chrétiens voient les mots «Maschiach», «oint» ou «Fils de l'Homme», ces derniers ont le très mauvais réflexe d'attribuer immédiatement le verset en question à Yeshua. En effet, le mot "oint" ne désigne pas seulement LE messie car d'autres figures bibliques sont également appelées "oint" dans les Écritures : Saul, Cyrus, David...

Or il se trouve que les "sages" d'Israël ont exactement le même travers : dès que les prophéties bibliques font référence à un "serviteur", ils en déduisent qu'il ne peut s'agir que du peuple d'Israël. S'il est vrai qu'Israël est parfois décrit comme «serviteur», cela vaut aussi pour d'autres personnes comme Zorobabel, par exemple. Et cela peut aller jusqu'à l'absurde !

Esaïe 52 introduit en effet le personnage décrit dans Esaïe 53 :

Esaïe 52:13
Voici, mon serviteur prospérera; Il montera, il s'élèvera, il s'élèvera bien haut.

Donc pour les juifs, la cause est entendue : Esaïe 52 et 53 décrivent le peuple d'Israël et n'évoquent ici strictement aucun messie.
Mais s'il s'agit bien du peuple d'Israël (et non d'un messie), comment expliquer que ce serviteur soit mort ? Comment expliquer que ce serviteur se soit offert en sacrifice pour ses propres péchés (c'est un non-sens total) et les péchés d'autrui (concept proprement inimaginable pour les «sages d'Israël») ?

Esaïe 53:4 (Traduction Zadoc Kahn - Grand rabbinat français)
4 Et pourtant ce sont nos maladies dont il était chargé, nos souffrances qu'il portait, alors que nous, nous le prenions pour un malheureux atteint, frappé par Dieu, humilié.
5 Et c'est pour nos péchés qu'il a été meurtri, par nos iniquités qu'il a été écrasé; le châtiment, gage de notre salut, pesait sur lui, et c'est sa blessure qui nous a valu la guérison.
6 Nous étions tous comme des brebis errantes, chacun se dirigeant de son côté, et Dieu a fait retomber sur lui notre crime à tous.
10 Mais Dieu a résolu de le briser, de l'accabler de maladies, voulant que, s'il s'offrait lui-même comme sacrifice expiatoire, il vît une postérité destinée à vivre de longs jours, et que l'œuvre de l'Eternel prospérât dans sa main.
12 C'est pourquoi je lui donnerai son lot parmi les grands; avec les puissants il partagera le butin, parce qu'il s'est livré lui-même à la mort et s'est laissé confondre avec les malfaiteurs, lui, qui n'a fait que porter le péché d'un grand nombre et qui a intercédé en faveur des coupables.

C'est à dessein que j'ai cité la traduction Zadoc Kahn afin de souligner les incohérences de l'argumentation qui soutient que Esaïe 53 parle du peuple d'Israël.
S'il s'agit vraiment d'Israël, ce ne serait que justice si Israël portait les maladies, les souffrances et les inquités d'Israël.

Or Esaïe 53 montre bien que ce serviteur ne méritait pas le châtiment qui lui est infligé mais qu'il le reçoit en lieu et place des vrais coupables.

Le texte affirme que «nous le prenions pour un malheureux frappé et humilié par Dieu» : il s'agit donc bien d'une tierce personne, distincte du peuple d'Israël. 

Par ailleurs, le verset 12 affirme que le serviteur est mort. Israël n'est jamais mort. Il a été exilé, disséminé, persécuté. Mais il n'est jamais mort !

Mais tous ces éléments logiques qui ont de quoi ébranler les certitudes de nos amis juifs quant à l'association de Esaïe 53 avec Israël ne sont pourtant que des broutilles si l'on considère les choses d'encore plus près...

Esaïe 53 au microscope (bis)

Lisons attentivement Esaïe 53 en gardant dans un coin de notre esprit l'affirmation catégorique des rabbins juifs : «l'idée même que Dieu irait planter une semence dans une femme est non nécessaire et non naturelle et n'est pas dans le Tanakh

Esaïe 53:1
Qui a cru à ce qui nous était annoncé? Qui a reconnu le bras de l' Éternel?

Ce premier verset, souvent négligé et lu en diagonale pour aller au coeur de la prophétie dans les versets suivants, semble n'être qu'une phrase d'introduction (ou de transition si on considère que la fin du chapitre 52 constitue la vraie introduction) qui n'a rien à nous apprendre à première vue. Et pourtant, il a bien plus de sens qu'il n'en a l'air...

Lisons la version Zadoc Kahn :

Esaïe 53:1 (Zadoc Kahn)
Qui a ajouté foi à l'annonce qui nous a été faite? Et à qui s'est révélé le bras de Dieu?

Ce verset comprend deux questions.

La première partie — la première question — évoque l'idée d'"avoir foi" «אָמַן» (même mot racine que "amen" et "emouna", voir Strong H539) et l'idée d'"annonce" «שְׁמוּעָה» ("schmuah", rumeur, nouvelle, voir Strong H8052).

Les choses commencent à être un peu plus claires.

Vous commencez à comprendre ce qui est en train d'être dit ?
Esaïe écrit littéralement ici : «Qui a cru à notre nouvelle?» 
Ce qui dans le jargon biblique traditionnel donne «Qui a cru à notre évangile ?»

C'est ce ce que dit Paul :

Romains 10:16
Mais tous n'ont pas obéi à la bonne nouvelle. Aussi Ésaïe dit- il: Seigneur, Qui a cru à notre prédication?

En effet, le mot «évangile» ne signifie pas en réalité «"bonne" nouvelle» mais tout simplement «nouvelle». L'adjectif «bonne» a été ajouté pour appuyer l'aspect positif du message mais il n'est pas fondé ni même mentionné explicitement. Explorez le Strong G2098 pour vous en convaincre.

Tradition, traduction et trahison

Un vieil adage affirme que «traduire, c'est trahir»...

Abordons maintenant la deuxième partie du verset, la deuxième question :
«À qui s'est révélé le bras de Dieu ?»

Pour un non-juif, rien ne transparaît ici. Mais un juif ou une personne qui lit l'hébreu doit faire — volontairement — un choix de vocabulaire.

En effet, en hébreu, comme vous le savez peut-être, les mots ne contiennent que les consonnes, les vocalises (les «nikoud») étant optionnelles. C'est comme si, en français, on ne considérait que les consonnes : ainsi le mot «PLC» sans voyelles, pourrait signifier au choix du lecteur, "police" ou "palace" ou bien "place" ou "placé" ou encore "plouc". En réalité, c'est le contexte qui va aider le lecteur à en déterminer le sens. Si quelqu'un vous dit qu'il était au Hilton et que c'était un véritable PLC, vous n'aurez aucune peine à comprendre ce qu'il voulait dire ! 

Revenons à la deuxième partie de Esaïe 53:1 :
«À qui s'est révélé le bras de Dieu ?»

En hébreu, nous avons : מִ֥י הֶאֱמִ֖ין לִשְׁמֻעָתֵ֑נוּ וּזְרֹ֥ועַ יְהוָ֖ה עַל־מִ֥י נִגְלָֽתָה׃

Mais les voyelles sont indiquées, nous voyons bien les nikoud ! Oui et non. En réalité, les nikoud ont été ajoutés par les massorètes qui ont déterminé arbitrairement, à tort ou à raison, la valeur des voyelles de chaque consonne du texte biblique.

Ainsi, le texte original du prophète Esaïe ne comportait-il pas la moindre voyelle, pas le moindre nikoud :

Esaïe 53:1 - Original du Rouleau d'Esaïe - Musée d'Israël, Jérusalem

Ce sont ensuite les massorètes qui ont décidé, au cours des 9° et 10° siècle (bien après Yeshua) d'ajouter telle ou telle voyelle à tel ou tel mot.

«Et alors, quel rapport me direz-vous ?»
Vous vous souvenez de l'affirmations des juifs selon laquelle «l'idée même que Dieu irait planter une semence dans une femme est non nécessaire et non naturelle et n'est pas dans le Tanakh» ?

Cette notion de «semence» est très juive et n'a rien d'occidental. Et ça tombe bien. Car le Tanakh aussi en parle.

Dans le verset 53:1, Esaïe a écrit en hébreu le mot sans nikoud : זרוע
En hébreu, avec ces mêmes consonnes et avec les nikoud suivants «זְרוֹעַ» Strong H2220 ce mot signifie "zroa" («bras»). 
Or en utilisant les mêmes consonnes mais avec les nikoud suivants, «זֵרוּעַ» Strong H2221, le même mot signifie "zeroua" («semence»).

Si nous tenons compte de cette possibilité, au lieu de

Esaïe 53:1 (Traduction Zadoc Kahn)
Qui a ajouté foi à l'annonce qui nous a été faite? Et à qui s'est révélé le bras de Dieu?

nous pourrions lire avec tout autant de force et de vérité :

Esaïe 53:1
Qui a cru à notre évangile? Et à qui la semence de Dieu a-t-elle été révélée?

Rien, absolument rien ne soutient l'idée qu'il s'agit d'un bras plutôt que de la semence. Bien au contraire !
En effet, quel est le contexte de ce mot et que disent les versets suivants ?

Esaïe 53:2 (Traduction Zadoc Kahn)
Il poussait devant lui, pareil à un faible rejeton, à une racine plantée dans un sol brûlé. Il n'avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, ni grâce pour nous le rendre aimable. 

Vous pouvez constater par vous-même que le champ sémantique choisi par Esaïe couvre spécifiquement le thème de l'agriculture : pousser, semence, bourgeon, racine, plante, sol, thème dans lequel le terme «semence» trouve toute sa place.

Ce qui apparaît maintenant saugrenu et inapproprié est le mot «bras» en regard du contexte et de la signification alternative du mot original !  

En réalité, tout le contexte dans ces premiers versets du chapitre 53, absolument tout le contexte indique et prouve qu'il ne s'agit pas du bras de Dieu mais bien de la semence de Dieu qui n'a été révélée qu'à ceux qui ont cru !

Le seul autre endroit où le texte biblique déclare que le «bras» d'Elohim sera révélé se trouve... dans Esaïe 52:10:

Esaïe 52:10 (Traduction Zadoc Kahn)
L'Eternel déploie son bras auguste aux regards de tous les peuples, et tous les confins de la terre sont témoins de l'œuvre de salut de notre Dieu.

Et que dit Esaïe 52:10 ?
Que Dieu montre Son bras «aux regards de tous les peuples».

Segond traduit ainsi :

Esaïe 52:10
L'Éternel découvre le bras de sa sainteté, Aux yeux de toutes les nations; Et toutes les extrémités de la terre verront Le salut de notre Dieu.

Et savez-vous ce que le «bras» d'Elohim révèle ? «Le salut de notre Dieu».
En français, cela ne vous parle pas. Mais en hébreu :

Esaïe 52:10 en hébreu

En hébreu, lorsque Elohim découvre Son «bras» aux nations, il est est littéralement écrit que c'est pour révéler «le YESHUA de notre Dieu».
En d'autres termes, lorsque Elohim découvre Sa semence aux nations, c'est pour révéler Yeshua !
Et la prophétie biblique s'est accomplie !
Les nations ont cru en l'évangile d'Esaïe, les nations ont cru à la semence qui leur a été révélée !

Nous comprenons maintenant mieux pourquoi Jean écrit dans sa première épître :

1 Jean 3:9
Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché, parce que la semence de Dieu demeure en lui; et il ne peut pécher, parce qu'il est né de Dieu.


Si nous adoptons la lecture que je propose :

Esaïe 53:1
Qui a cru à notre évangile? Et à qui la semence de Dieu a-t-elle été révélée?

nous apercevons alors que Esaïe 53 suit la même logique que celle des Évangiles de Matthieu et Luc : dès le premier chapitre, et de manière brève et concise, ces évangiles annoncent la naissance miraculeuse de Yeshua tout comme dès les premiers versets, Esaïe 53 proclame en une phrase l'Évangile et la semence de Dieu pour ensuite prendre le temps de décrire les souffrances de notre Messie dans les versets suivants.

Pour conclure, l'enseignement des «sages d'Israël» selon lequel «aucune prophétie, à aucun moment, n'a jamais annoncé une quelconque naissance «miraculeuse» ou «virginale» ou suggéré l'idée que Dieu ait pu planter une semence dans une femme» est totalement caduque et tendancieux.

Caduque car les choses ne sont pas aussi catégoriques que les rabbins veulent le faire accroire.

Tendancieux car les nikoud ont été ajoutés au texte biblique au Moyen-Âge, soit plus de 1000 années après la vie, la mort et la résurrection de Yeshua... Il fallait à tout prix, dans la mesure du possible, ôter et supprimer toute possibilité de faire ou de suggérer un rapprochement quelconque entre Esaïe 53 et un messie chrétien qui serait, dit-on, né de façon miraculeuse... 

Lisons encore Esaïe...

Esaïe 52 :7
מַה־נָּאו֨וּ עַל־הֶהָרִ֜ים רַגְלֵ֣י מְבַשֵּׂ֗ר מַשְׁמִ֧יעַ שָׁלֹ֛ום מְבַשֵּׂ֥ר טֹ֖וב מַשְׁמִ֣יעַ יְשׁוּעָ֑ה אֹמֵ֥ר לְצִיֹּ֖ון מָלַ֥ךְ אֱלֹהָֽיִךְ׃
Qu'ils sont beaux sur les montagnes, Les pieds de celui qui apporte de bonnes nouvelles, Qui publie la paix! De celui qui apporte de bonnes nouvelles, Qui publie le salut! De celui qui dit à Sion: ton Dieu règne! 

Le texte dit littéralement :
«Comme ils sont beaux sur les montagnes,
les pieds de celui qui apporte l'Évangile,
qui publie la paix !
qui apporte de bonnes nouvelles,
qui proclame YESHUA,
qui dit à Sion "Ton Dieu règne" !
»

Je remercie notre Dieu de m'avoir fait trouver ces choses !
Que le Nom de notre Elohim soit béni au plus haut des cieux et que Son Messie vienne !



 13-01-2023  Mod. 25-08-2023   Imp. PDF   Copie aut. si mention viadei.fr

  4 commentaires sur cet article...

Ludovic talmidim a écrit le 17/01/2023:
Shalom frere, je rajoute cette etude dans la prochaine bible contexte (sur playstore) si tu le permet. sois benis

Thierry (Site : https://www.viadei.fr) a écrit le 17/01/2023:
Shalom Ludovic, c'est avec plaisir ! Il faut propager la vérité au plus grand nombre !
Que Dieu te garde !

Karen a écrit le 13/05/2023:
Incroyable ! Extraordinaire ! Merci Adonaï pour cette révélation merveilleuse que tu as offerte à Thierry !

Thierry (Site : https://www.viadei.fr) a écrit le 14/05/2023:
@Karen
Amen, Dieu est juste et bon : Il donne généreusement à tous ceux qui Le Lui demandent. Gloire à notre Dieu et Son Fils Yeshua !

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