Via Dei, le chemin de Dieu

«Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.»
Jean 14:6
1 Un moment pour tout, un temps pour tout désir sous les ciels. 2 Un temps pour enfanter, un temps pour mourir. Un temps pour planter, un temps pour extirper le plant.

3 Un temps pour tuer, un temps pour guérir. Un temps pour faire brèche, un temps pour bâtir.

4 Un temps pour pleurer, un temps pour rire. Un temps se lamenter, un temps danser.

5 Un temps pour jeter des pierres, un temps pour ramasser des pierres. Un temps pour étreindre, un temps pour s’éloigner d’étreindre.

6 Un temps pour chercher, un temps pour perdre. Un temps pour garder, un temps pour jeter. 7 Un temps pour déchirer, un temps pour coudre. Un temps pour chuchoter, un temps pour parler.

8 Un temps pour aimer, un temps pour haïr. Un temps, la guerre, un temps, la paix.

9 Quel est l’avantage de l’ouvrier en ce qu’il a pour labeur ? 10 J’ai vu l’intérêt qu’Elohîms a donné aux fils de l’humain, pour les violenter. 11 Le tout, il l’a fait bel en son temps. La pérennité aussi, il l’a donnée en leur coeur, sans que l’humain ne trouve le fait qu’Elohîms a fait, depuis la tête et jusqu’à la fin.

12 Je le sais, ils n’ont de bien en eux que de se réjouir et de bien faire en sa vie. 13 Aussi tout humain qui mange, boit et voit le bien en tout son labeur: voilà un don d’Elohîms ! 14 Je le sais, tout ce que l’Elohîms fait est en pérennité. Il n’y a rien à y ajouter et rien à en retrancher. L’Elohîms fait qu’ils frémissent en face de lui.

15 Ce qui était est déjà; ce qui doit être était déjà. Elohîms cherche le persécuté.

16 Je vois encore sous le soleil: au lieu de jugement, le crime; au lieu de justice, le criminel.

17 Moi, je dis en mon coeur: l’Elohîms juge le juste et le criminel. Oui, il est un temps à tout désir et à tout fait, là. 18 Moi, je dis en mon coeur sur la parole des fils de l’humain: l’Elohîms les sélectionne pour voir qu’ils sont des bêtes, eux-mêmes pour eux-mêmes ! 19 Oui, l’aventure des fils de l’humain et l’aventure de la bête est la même aventure, la mort de celui-ci est comme la mort de celui-là. Un seul souffle pour tous; la supériorité de l’humain sur la bête est nulle. Oui, le tout, fumée !... 20 Tout va vers un lieu unique; tout est poussière et tout retourne à la poussière. 21 Qui sait si le souffle des fils de l’humain monte en haut, et le souffle de la bête descend en bas, sous terre ?

22 Je vois qu’il n’est rien de meilleur pour l’humain que de se réjouir en ses faits. Oui, c’est sa part, car qui le fera venir pour voir ce qui sera après lui ?




 
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